Courtier immobilier à 📍 La Haute-Saint-Charles Val-Bélair
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Val-Bélair -
La Haute-Saint-Charles
à Québec
À propos du quartier Val-Bélair à Québec
À l’époque de la Nouvelle-France, le territoire de Val-Bélair est partagé entre plusieurs seigneuries.
L’une d’entre elles, le Fief de Bélair, est concédé à Guillaume Bonhomme en 1682 puis la concession ratifiée le 15 avril 1684 par le roi Louis XIV. Le territoire mesure une lieue de front sur deux lieues dans l’axe perpendiculaire au fleuve Saint-Laurent, entre la rivière Jacques-Cartier et la seigneurie de St-Augustin, et comprend le Mont Bélair ainsi que le Lac Bonhomme. À sa mort, le 14 mars 1710, le territoire est divisé entre les enfants de Guillaume Bonhomme, partage difficile qui demandera l’implication de l’intendant Jacques Raudot. Nicolas, portant le surnom de Seigneur du lac, revend sa part aux Jésuites en 1710. Son frère Guillaume doit mettre aux enchères sa part pour régler une dette d’honneur le 23 mai 1729; François-Étienne Cugnet, qui en prend possession, revendra en 1733 également le territoire aux Jésuites. Les autres enfants Bonhomme feront de même de 1733 à 1743 et l’ensemble du territoire appartient finalement aux Jésuites. En 1800, alors que meurt le dernier Jésuite à Québec et puisque l’ordre a été dissous en 1777 par le pape Clément XIV, le territoire de la seigneurie devient “Terre de la Couronne” britannique. Le 30 mai 1855, l’Acte des municipalités et des chemins du Bas-Canada donne naissance aux divisions municipales au Bas-Canada et le territoire est rattaché à la municipalité de paroisse de Saint-Ambroise-de-la-Jeune-Lorette.
La paroisse de Saint-Gérard-Majella (parfois orthographié Magella) est fondée en 1906 puis détachée de L’Ancienne-Lorette et de Saint-Ambroise-de-la-Jeune-Lorette à l’occasion de son érection canonique en 1909. Les autorités ecclésiastiques considéraient en effet que les résidents de « la montagne à Bonhomme » avaient trop de chemin à faire pour se rendre à l’église de à Saint-Ambroise-de-la-Jeune-Lorette (qui devint Loretteville). Elle donnera son nom à la municipalité de paroisse créée la même année, qui comprend déjà les mêmes limites que la future ville de Val-Bélair. La paroisse est nommée d’après saint Gérard Majella (1726-1755), prêtre rédemptoriste, canonisé en 1904, soit peu de temps avant sa création. Les habitants vivent de l’industrie du bois et de la chasse. Un service de buanderie viendra s’y établir par la suite et emploiera plusieurs habitants.
En 1914, les premiers chalets sont installés sur le chemin qui deviendra plus tard le Boulevard Pie-XI. Des conflits éclatent rapidement entre les ruraux de la Montagne à Bonhomme et les résidents temporaires, entre autres sur le sujet des taxations. En 1933, la municipalité de Val-Saint-Michel est créé dans les débats à partir du territoire de Saint-Gérard-Majella. La nouvelle ville de Val-Saint-Michel demeure au début une ville d’été, produit du phénomène nouveau de villégiature. Ce n’est d’ailleurs qu’en 1951 qu’un résidant permanent de l’endroit fut élu maire, alors qu’auparavant seuls des résidents de Québec possédant un pied-à-terre à Val-Saint-Michel s’étaient retrouvés à la mairie.
Bélair
En 1965, la municipalité de Saint-Gérard-Majella devient une ville et son nom est modifié pour Bélair, du nom de la seigneurie concédée en 1682 par l’intendant Jacques de Meulles et le gouverneur Le Febvre de La Barre à Guillaume Bonhomme, laquelle était également connue jadis sous l’appellation de Bélair. D’ailleurs, un secteur de la ville portait le nom Bélair en rappel du noyau central de l’ancienne municipalité homonyme. La paroisse conserve le nom de Saint-Gérard-Majella.
Seconde guerre mondiale
Tant Bélair que Val-Saint-Michel bénéficient d’une forte augmentation de la population lors de la Seconde Guerre mondiale, à partir de 1939, alors que beaucoup d’habitants civils travaillent à la base militaire et aux usines d’armement voisines. Après la guerre, la villégiature se développe et apporte son lot de nouveaux résidents. Les règlements de construction et d’habitation laxistes combinés à des prix de terrains bas amènent également des résidents pauvres de Québec à venir s’y installer.
Tellement que le gouvernement du Québec déclare Bélair « sous-développé », ce qui deviendra un frein majeur à son développement, les institutions financières refusant de prêter afin de ne pas voir leur investissement déprécié. Lorsque la ville révise ses règlements d’urbanisme quelques années plus tard, la construction reprendra. Le développement de la base militaire de Valcartier contribuera également à l’apport de nouveaux résidents et au développement résidentiel jusqu’aux années 1970.
Val-Bélair
Le développement de nouvelles infrastructures pour accueillir les résidents coûte cher, et les deux villes sont fortement endettées. Un premier projet de fusion avec la ville de Sainte-Foy ne se réalise pas. Afin de réduire les doublons, la municipalité de Bélair prendra son nom de Val-Bélair le 1er janvier 1974, par suite de la fusion intervenue entre Bélair et Val-Saint-Michel. La nouvelle municipalité est régie par la Loi sur les Cités et Villes et, à compter de la première élection générale en novembre de la même année, le nombre des membres du Conseil est fixé à sept soit un maire et six conseillers. Une promesse du gouvernement provincial d’une subvention d’un million de dollars pour effacer la dette ne se concrétise pas, les finances s’embourbent et la ville sera mise brièvement sous tutelle quelques années après sa création.
Les habitants de Val-Bélair, campagnards près de la ville à l’origine, et fruits d’un parcours chaotique, servent dans les années 1980 de tête de turc à quelques représentants des médias locaux et humoristes. Cependant, à la suite d’une campagne de promotion importante et au slogan « Val-Bélair, ville de la nature », d’une amélioration des infrastructures municipales et d’un embellissement floral des artères, elle connaît au début des années 1990 une expansion de sa population, en partie grâce à Claude Beaudoin, maire durant près de 20 ans. Elle passera ainsi de 11 000 habitants en 1971 à plus de 22 000 habitants en 2002. Aux élections municipales de 1998, le nombre de conseillers passe à huit afin de refléter cette augmentation. De nouvelles infrastructures (écoles, bibliothèque, activités de loisirs et culturels) sont mises en place et plusieurs commerces s’y ouvrent. Val-Bélair devient progressivement une banlieue où bon nombre de jeunes familles viennent s’installer, tout en travaillant souvent à l’extérieur des limites de la ville.
Source: Val-Bélair, Wikipédia
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